Catégories : Rencontres BDSM Bondage Shibari Kinbaku Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 7 ans
Offert à deux femmes
Hélène m’a demandé si je pouvais passer la voir, disposant de son après-midi ce jour là, pour lui donner quelques conseils sur des achats envisagés pour l’aménagement de sa villa en bord de mer. Il y avait longtemps que nous ne nous étions pas contactés, cela me faisait plaisir de la revoir, Hélène est très fantasque et a toujours des idées originales.
J’arrive chez elle vers midi et demi, et suis surpris d’entendre des voix à l’intérieur alors que je pensais qu’elle était seule. Elle vient m’ouvrir cependant surprise que j’arrive si tôt dit-elle. Puisque tu es en avance, tu vas patienter, je ne suis pas seule…. Elle me fait entrer et me conduit dans une chambre, en me disant que je devais attendre ici, sans bruit, pour ne pas me faire repérer, qu’elle ne voulait pas que l’on sache que j’étais la. Je te connais, tu risques de te manifester aussi je vais prendre quelques précautions. Enlèves tes chaussures et étend toi sur le lit.
Pendant ce temps, elle ouvre l’armoire et sort un sac, prenant deux paires de menottes, elle me lie rapidement les poignets et les chevilles, puis sortant deux cordes, elle relie les menottes des chevilles au fond du lit et fait de même avec les menottes des poignets à la tête du lit. J’étais en quelques secondes immobilisé complètement. Bon dit-elle cela devrait aller, tu ne feras pas de bêtise. Ah! Il manque quelque chose, elle fouille dans le sac, en sort une cagoule qui recouvre le haut du visage aveuglant entièrement, couvrant aussi les oreilles, et qui se ferme autour du cou par un collier cadenassé et un bâillon anneau. Je suis équipé en un tour de main. Voilà dit-elle, je suis tranquille, à tout à l’heure.
Je l’entends dire, en revenant dans le séjour, que c’était un livreur, en précisant ces gens là n’ont pas d’heure, excusez-moi de vous avoir fait attendre. Je compris qu’il y avait plusieurs personnes, les conversations reprirent sur le travail, je me dis que ce devaient être des collègues à elle.
Le temps passa, puis ce fut le moment du départ pour ses collègues. Le silence régnait, je me dis que j’allais enfin être libéré commençant à trouver le temps long.
Hélène ne venait toujours pas. Tout à coup je l’entends parler, elle n’est pas seule quelqu’un se trouve avec elle. Elle dit: tu veux bien aller chercher dans ma chambre le pot sur la commode? Je sursaute, avait-elle oublié que j’étais là? J’entends la porte s’ouvrir, et en même temps un léger cri de surprise, puis presque aussitôt un fou rire derrière. Hélène dit tu te souviens Nicole de notre discussion de l’autre jour sur les hommes soumis? Je te présente Marc, un ami de toujours et victime consentante de jeux de bondage entre autre, il est la depuis tout à l’heure, c’était lui le livreur…
Je l’ai fait venir pour passer l’après midi avec nous, on va en profiter pleinement.
Nicole fut conviée à me détacher, et Hélène lui dit déshabilles-le, ce sera mieux pour la suite. Ainsi fit-elle, dans les minutes qui suivirent j’étais nu et elles me remirent les menottes aux poignets, les mains derrière le dos. Hélène fit la réflexion qu’un homme nu n’était pas beau et puisqu’il était soumis on devait l'habiller un peu, un corset et des bas feront l’affaire dit-elle.
Nicole chargée de m’habiller, me met le corset en serrant les lacets, me fait enfiler un string et après m'avoir fait asseoir m’enfile des bas qu’elle attache aux jarretelles bien tendues. Des chaussures à talons complètent l’ensemble, elle m’aide à me relever, ce qui n’était pas facile.
Pas mal dit Hélène, qu’allons nous faire de lui maintenant? Nicole dit qu’elle adorait les cordes et jouer avec. Pas de problème dit Hélène, tu en as plein le sac, débrouilles-toi pour l'attacher, pendant ce temps j'irai ranger la salle à manger et faire la vaisselle de tout à l’heure.
Je l’entends partir et reste avec Nicole qui s’affaire avec le sac. Elle commence par me lier les mains dans le dos, puis continue par les coudes derrière le dos. Puis elle s’occupe des jambes, chevilles, genoux (dessus et dessous), cuisses, mollets furent serrés, rapidement je ne peux plus bouger. Je sens des cordes s’enrouler autour de ma taille, de ma poitrine (au-dessus et au-dessous des seins) et de mes hanches. Elle entreprends enfin de relier chacune d’entre elles avec les suivantes, d'abord dans mon dos, puis sur le devant; je dois ressembler à un « rôti bien ficelé ».
Nicole me fait basculer sur le lit et me tire au milieu de celui-ci. De nouvelles cordes servent à me lier au lit de façon à ce que je ne puisse vraiment faire le moindre mouvement.
Nicole appelle Hélène pour venir voir son travail, cette-ci vérifie tour à tour la tension de toutes les cordes et félicite son amie pour son chef d'oeuvre décide de photographier l’ensemble « pour la postérité ».
Hélène dit : tout travail mérite récompense Nicole, je te propose d’aller en ville nous distraire un peu, peut-être se faire un ciné? Marc tu es d’accord bien sur? Comment faire autrement, bâillonné, aucun son compréhensible ne pouvait sortir de ma bouche, oui dit Hélène, qui ne dit mot consent, allons-y.
Je les entends se préparer et sortir, j'allais rester contraint jusqu'à quand? Impossible de le savoir, plusieurs heures s'égrenèrent dans un silence total.
Enfin du bruit, j'entends les filles revenir de leur sortie, elles semblent très gaies en rentrant dans la chambre. Tout à coup, quatre mains se mettent à me palper dans un silence complet, sur tout le corps, sans exception, provoquant une vive réaction de ma part qu'elles ne peuvent ignorer. Les caresses se succédèrent et s'arrêtèrent subitement comme elles avaient commencées, je les entendis sortir de la pièce sans mot dire, me laissant à nouveau.
Ce n'est que longtemps après qu'elles revinrent; avant de me détacher, elles me disent que la soirée n'est pas terminée, qu'elles avaient d'autres projets pour moi et qu'elles réfléchissaient. Je fus cependant détaché et conduit à la salle de bains toujours cagoulé pour faire quelques ablutions, puis dans la cuisine ou Hélène me fit avaler un sandwich (sans boire pour pouvoir me contenir sans difficulté...) Il était 18 heures me dit-elle (cela faisait plus de cinq heures que j'étais attaché).
Après m'avoir fait restaurer, on m'amène toujours aveuglé dans l'entrée de la maison l'une d'entre elles me passe un collier autour du cou et relie la laisse à la rampe de l'escalier et me remet le bâillon. Pendant ce temps l'autre me menotte les poignets dans le dos et à nouveau les chevilles. Hélène dit à Nicole, on va le laisser un peu prendre l'air ensuite on avisera et elles repartirent au salon.
Le téléphone sonna, quelques instants plus tard, Hélène vient et annonce qu'elle était de permanence et que l'on avait besoin d'elle, donc qu'elle devait partir immédiatement. Elle charge Nicole de me conditionner à sa guise et qu'elle me prendrait en main à son retour, Nicole est invitée à fermer la maison avant de rentrer chez elle.
Hélène partie, Nicole vient s'occuper de moi. Elle avait été à la buanderie et était revenue avec du matériel et des idées...
Je suis libéré de mon collier et Nicole me dit qu'elle allait m'équiper avec le harnais de sécurité qu'elle avait trouvé au garage. Sans défaire les menottes des poignets, elle m'enfile le harnais, et attache les diverses s a n g les autour de mon corps. (Ce harnais prend le haut des cuisses, la taille, le torse et les épaules, il possède dans le dos au niveau des épaules un anneau permettant d'être suspendu).
Elle me conduit ensuite sous la mezzanine, pose un petit tabouret au sol et me fait monter dessus (j'étais surélevé de vingt centimètres environ). Elle prend une chaîne fixe une des extrémités à l'anneau du harnais avec un gros cadenas, puis je l'entend monter l'escalier, la chaîne se tend et elle fixe l'autre extrémité au poteau supérieur.
Elle me remet les menottes aux chevilles et entreprend cette fois avec des rouleaux d'adhésif de me saucissonner méthodiquement. Une fois fait, elle consolide l'ensemble avec quelques cordes et termine l'emballage avec du plastique étirable dont elle recouvre mon corps entièrement ne laissant que mon visage de libre.
Visiblement, elle est satisfaite du résultat. Je ne peux pas bouger du tout.
Elle me dit alors qu'elle allait se préparer et partir. Mais avant de cela, elle me pousse et donne un coup de pied au tabouret, ce qui me suspend cette fois par le harnais à l'ossature de l'escalier, mes pieds dans le vide à vingt centimètres du sol.
Voilà elle a réussi son projet, et peut me laisser ainsi, ce qu'elle fait sans scrupule et part après avoir fermé la maison. Me voila à nouveau seul, pour combien de temps?
J'entends la clé tourner dans la serrure, quelle heure est-il? Impossible de savoir. C'est Hélène, elle s'approche de moi et s'exclame du travail accompli. Elle me dit qu'elle allait chercher les clés pour me libérer. Je l'entend parler à haute voix, et passer d'un endroit à l'autre, elle revient enfin près de moi et me dit : mon cher Marc, je crois que tu vas rester ainsi jusqu'à demain, je ne trouve pas les clés.
Nicole a du les mettre dans sa poche et n'a plus pensé à les reposer, il est deux heures du matin, il ne serait pas raisonnable de la réveiller, je l'appellerai demain matin. De toute façon je suis trop fatiguée pour te libérer à cette heure, et cela me conforte dans mon idée, puisque je n'ai pas les clés...Bonne nuit.
Samedi matin
J'entends sonner, du mouvement dans la maison et réalise, en me réveillant, la position qui est la mienne. Une nuit suspendu et attaché, les filles n'ont pas mégoté et ont semblé prendre du plaisir à cette situation. Les voix de Nicole et d' Hélène se font entendre près de moi, des mains me touchent et je sens tout à coup mes pieds en contact avec le tabouret. Elles rigolent et me disent qu'elles vont me sortir de cette situation. Les ciseaux s'activent et rapidement les liens de plastique tombent, puis c'est le tour du harnais et des menottes des chevilles, me voilà « presque libre » de mes mouvements, seules mes mains restent menottées, et enfin me font descendre du tabouret.
Hélène dit, tu as bien mérité un bain, on va te conduire à la salle de bains, t'enlever ton bâillon et les menottes, mais tu conserveras la cagoule, tu te débrouilleras bien avec. Ainsi fut fait.
Hélène revient me chercher un peu plus tard, cela n'a pas été facile sans rien voir de faire ma toilette, je suis encore mouillé. Elle prend une serviette de bains et me bouchonne en riant, elle voit que son action a provoqué chez moi une réaction bien visible. Elle me remets les menottes aux poignets mains dans le dos, prenant une fine corde, elle attache mes parties et c'est « en laisse » qu'elle m'amène à la cuisine ou Nicole à son tour se met à rire. Qu'allons-nous faire de lui dit-elle? Le week-end est devant nous, nous avons le temps de nous amuser, Nicole a pris goût à ces jeux et visiblement a envie de continuer cette expérience.
Elles décidèrent de me faire déjeuner, m'assirent sur une chaise, aussitôt une corde me lia par la taille à celle-ci, puis une autre relia mes genoux bien serrés l'un contre l'autre . Ce fut un ballet bien réglé qu'elles avaient concocté. Qui à tour de rôle venait s'asseoir sur mes genoux pour me faire manger ou boire ? Je ne sais pas, la seule chose était qu'à chaque fois un corps se frottait au mien, lascivement. Je ne pus résister longtemps à ce jeu et m'épanchai finalement honteux de n'avoir pu me contrôler.
Hélène dit, quel sale garçon, tu vas être puni pour ce que tu as fait. Elle me remet le bâillon aussitôt. Je crois que tout cela était prémédité, Nicole sauta sur l'occasion et dit je pense avoir une idée...que m'attendait-il maintenant ? J'allais le savoir bientôt.
En attendant, tu vas aller méditer un peu sur la terrasse. Hélène reprit « la laisse », me détache de la chaise et me fait suivre ainsi dehors ou il faisait doux, c'est vrai j'ai perdu toute notion du temps, ainsi masqué. Il ne doit pas être tard dans la matinée, la journée ne fait que commencer...Elle m'amène jusqu'à la balustrade et en attachant ma laisse à celle-ci me dit : tu n'es pas un cheval, toi tu n'es pas attaché par le mors mais par la queue...A tout à l'heure.
C'est Nicole qui revient me chercher et me conduit sous l'auvent ou sont garées habituellement les voitures. Elle me dit que j'allais jouer au poisson. Que cela cachait-il ?
Arrivé sur le sol bétonné, je dois m'allonger sur le sol ou se trouve Hélène et un filet de pêche. Elles me roulent dedans plusieurs fois, puis pendant que l'une attache chaque extrémité du filet avec une corde, l'autre à l'aide d'une cordelette coud le filet sur toute la longueur. Je suis entièrement boudiné! Hélène prend la commande du petit treuil qui se trouve fixé au plafond, et après avoir passé le crochet au milieu de la corde qui relie les deux extrémités du « boudin » actionne la commande de celui-ci. La corde se tend, je me retrouve plié en deux, puis soulevé du sol.
Tu es bien me dit Hélène ? Eh bien nous deux allons prendre un bain et ensuite déjeuner sur le port. A plus tard...Me voilà seul à nouveau dans une situation inextricable
Samedi après-midi
J'entends des voix, elles rentrent satisfaites semble-t-il. Nicole dit qu'il fait chaud, Hélène s'approche de moi et dit : Marc, tu transpires sous cet auvent, je vais te rafraîchir un peu. Prenant le jet d'eau, je suis copieusement arrosé, arrosage bienvenu je l'avoue. Zut fait Nicole, tout est trempé maintenant, on va attendre qu'il soit sec et on avisera. Et elles partent me laissant à nouveau ainsi suspendu.
Plus tard Hélène revient, constatant que le filet était encore mouillé, elle fait descendre le treuil et me sort du filet. Elle décide de me laisser sécher, pour cela, elle ouvre les menottes et ramène mes mains pour les rattacher devant, les accroche au palan, et fait remonter le câble tendant mes bras au dessus de la tête. L'autre paire de menottes retrouve aussi mes chevilles. Voilà, tu es comme du linge qui sèche, mais il manque quelque chose. Je le sens aussitôt, des pinces à linge sont placées sur mon corps un peu partout au grès de sa fantaisie. Elle me laisse ainsi et repart.
C'est Nicole qui vient à son tour, elle me libère et rattache mes mains dans le dos. Elle enlève ensuite les pinces à linge, chaque retrait étant pour moi douloureux, Par la laisse, elle me tire et me conduit à nouveau dans la maison en me disant que ce soir, Hélène avait invité des amis pour une collation et que je devais donc disparaître. Elles avaient prévu de m'installer dans le bureau près de l'entrée. Après m'avoir accordé un petit passage aux toilettes, Nicole alla chercher mes dessous et me rhabilla avec le corset, le string et les bas, puis les chaussures à talons (avant de mettre le string, elle m'introduisit au rectum un plug pour me distraire dit-elle).
Installé dans le bureau, ce fut le tour des cordes, à nouveau je suis attaché, des chevilles aux épaules avec cette fois les bras collés le long du corps, chaque poignet étant fixé solidement à la cuisse correspondante. Nicole relia toutes les cordes horizontales avec des cordes placées verticalement constituant un maillage serré, empêchant tout glissement de l'une d'entre elles. Puis dos contre le poteau de la bibliothèque elle me solidarisa à celui ci encore avec des cordes, finissant par l'anneau supérieur de la cagoule qui permit d'immobiliser ma tête contre celui-ci. J'eus droit aussi à la pose de deux pinces une sur chaque téton reliées par une chaînette sur laquelle elle fixa un poids provoquant un étirement permanent. Voilà mon petit Marc dit-elle, ah j'oubliais, je te branche, aussitôt je ressentis des vibrations dans mon anus. C'est ça ta distraction pour la soirée, un programmateur fait vibrer ton plug de manière aléatoire plus ou moins longtemps, tu vas apprécier...tu ne seras pas seul !!! et elle sort en riant.
Le silence m'enveloppa, puis l'arrivée des invités, de la musique et les bruits du cocktail se firent entendre. Tout à coup, j'entends la porte du bureau s'ouvrir, pas de bruit, puis des attouchements, des mains baissent mon string, me caressent, la situation est très excitante d'autant plus que c'est au même instant que l'infernale machine se remit en marche, une bouche se saisit de mon sexe et en quelques secondes, me conduit à l'extrême, puis doucement ces mains réajustent le string et la personne sort de la pièce sans un mot. Qui des deux filles a eu cette idée ?
Plus tard, aux environs de vingt heures, Hélène entre dans la pièce en m'annonçant que nous étions seuls tous les deux et qu'elle allait me rendre ma liberté (tout au moins un certain temps). J'appréciai de retrouver la vue, d'être entièrement libéré de mes différents liens, et du plug. Elle me dit que nous allions souper, que notre jeu reprendrait ensuite. En attendant, j'étais nu et devrais rester ainsi. Nicole aussi était retournée chez elle, mais reviendrait demain dimanche.
Pendant que nous préparions le dîner, Hélène réfléchissait à dans quelle situation elle allait me mettre. Revenant de l' annexe de la cuisine, elle dit j'ai trouvé, le jambon que j'ai ramené de la campagne cousu dans son sac me donne envie de faire pareil avec toi. Nous verrons cela tout à l'heure.
Une heure après, Hélène dit allez, hop, au travail, tu as eu assez de liberté. Elle me ramène dans la chambre, tire le dessus de lit laissant voir un matelas nu. Elle étend ensuite un drap, qu'elle plie en deux dans le sens de la longueur et le centre sur le matelas. Sur la tablette a coté, se trouve une pelote de ficelle à rôti, une grosse aiguille à coudre et des ciseaux. Tu seras équipé pour la nuit dit-elle, elle me remet la cagoule et le bâillon, et referme le cadenas. C'est au tour des bras d'être attachés à nouveau, d'abord les mains recouvertes de toile adhésive, doigts serrés, attachées aux cuisses, les bras ensuite collés au corps. Allonges-toi sur le lit, bien au centre et face au matelas, voilà c'est bien. Ce sont maintenant les chevilles, les mollets, les genoux, les cuisses qui sont traités de même. Puis méthodiquement, je suis emballé dans le drap, d'abord la tête, puis les pieds, ensuite elle rabat les bords un à un. Un peu de couture maintenant, je sens la toile se tendre sur moi, au fur et à mesure de son travail de couture. Cela prit un certain temps, mais le résultat était là, je me sentais étroitement serré dans la toile tendue. Hélène semble satisfaite, c'est bien, il n'y a aucun pli, on dirait le jambon de la réserve, en plus gros bien sur. Tu passeras la nuit comme cela je vais te retourner sur le lit pour te mettre sur le dos, je sens ensuite qu'elle pose diverses s a n g les tendues à leur tour, qui me collent littéralement sur le lit. Parfait fit Hélène, tu ne risques pas de tomber, bonne nuit ma momie fais de beaux rêves, et ferma la porte me plongeant dans le silence de la nuit.
Dimanche matin
J'entends du bruit dans la maison, ce doit être le matin, malgré ma position, j'ai dormi sans problème. Hélène entre dans la chambre, tu es réveillé ? Je réponds par un grognement. Elle enlève les s a n g les qui me lient au lit, je te libérerai tout à l'heure dit-elle, et repart aussitôt. Plus tard, j'entends la sonnette de l'entrée et la voix de Nicole à nouveau, quelques échanges avec Hélène et la porte de la chambre qui s'ouvre. Oh fait-elle belle momie, puis des mains me caressent, me pincent, tout à coup je sens les filles monter sur le lit et s'asseoir sur moi, l'une se positionne sur mon visage, l'autre sur mon sexe. J'ai du mal à respirer, mais en même temps je sens mon sexe se durcir. Cela dure un moment avec de grands éclats de rire. Nicole dit alors c'est dommage de le libérer, il est bien comme ça, on pourrait le mettre ailleurs, comment faire ? J'ai une idée, je vais chercher le diable, on le déplacera avec. Quelques minutes plus tard, l'une d'elles revient avec. La chose n'est pas aisée, elles me font glisser au bord du lit, puis après avoir mit le diable contre, me font glisser dessus en me soutenant. Après cet effort, me voilà couché dessus, elles m'attachent avec des s a n g les, prêt pour le voyage. Ou va-t-on le mettre dit Nicole ? Allons donc sous l'auvent, on aura le palan pour le lever, et on le posera sur la grande table, elle est assez longue, ce sera facile. Nous voilà partis, et effectivement après plusieurs manipulations, je suis hissé sur la table entièrement allongé. On va le laisser là, Nicole dit, je l'attache sur la table pour ne pas qu'il tombe, OK dit Hélène, je reviens. Quelques minutes plus tard, elle dit à Nicole qui m'avait s a n g lé entièrement, j'ai ramené les ciseaux, on va faire des ouvertures. Je sent ceux-ci agir et voilà que sont faites des découpes au niveau de mes tétons, puis au niveau de mon sexe. Puis je sens des pinces mordre mes tétons et mon sexe et des étirements, j'ai compris qu'elles avaient relié les pinces au crochet du palan par des ficelles et actionné le treuil électrique pour obtenir ce résultat.
Ouf fit Hélène, allons nous occuper de nous maintenant. Marc tu vas rester bien sage n'est-ce pas ?
Les voilà reparties riant comme des folles.
Ce n'est que vers midi, qu'elles se décidèrent à me libérer, elles m'autorisèrent à prendre un bain et à me restaurer. Puis Hélène arriva seule avec un petit sac d' ou elle sortit des collants. Elle me dit on va faire de « l'encavement » pour finir la journée, enfiles donc ce premier pendant que j'en prépare un autre. Elle découpa le fond d' un autre, me le tendit en disant tu l'enfiles à l'envers, la tête et les bras dans les jambes. Rapprochant les deux ceintures, avec l'aiguille et du fil elle les couds ensemble. Puis ma tête aussi fut recouverte d'un autre collant. Elle recommença l'opération trois fois de suite, les collants étant opaques, j'étais à nouveau isolé, et dans le noir. Terminant ses coutures, Hélène appela Nicole pour qu'elle puisse voir le spectacle. Pas mal dit elle, en me plaçant à nouveau les menottes aux poignets dans le dos. Elles me conduisirent ainsi au jardin et me retrouvais allongé sur la balancelle, à nouveau attaché.
Ce n'est qu'en fin d'après-midi qu'elles revinrent. Le week-end étant fini, nous devions retourner chacun chez nous. C'est à ce moment là que Nicole dit, je vais ramener Marc, puisque c'est sur ma route, oui dit Hélène, tu as une bonne idée. Hélène me détache alors et me conduit... directement à la voiture, en me disant Nicole te libérera en arrivant. Horrifié, je lui dis que je ne veux pas, que l'on va me voir. C'est alors que je sentis qu'elle me remettait la cagoule, et me re-bâillonna aussitôt. Voilà tu seras sage comme ça. Et je fus s a n g lé par la ceinture de sécurité sur le siège de la voiture. J'entendis Nicole qui disait, j'ai pris toutes ses affaires et les ai mises dans le sac. Après des embrassades et des rires, nous voilà partis.
Le parcours se fit dans le silence, la voiture s'arrêta enfin et Nicole dit, on est arrivés. Me fit descendre et me conduisit en me disant : Marc, on est chez moi, J'ai décidé de profiter un peu de toi, seule je te libèrerai demain matin et te conduirai directement à ton bureau. C'est ainsi que je me retrouvait à nouveau sur un lit solidement attaché, mais avec quelqu'un qui vraiment avait des idées plein la tête... et que je n'avais toujours pas vue !!!
Jamidrisse
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